Versailles

  • 2020
  • Bruxelles

Rénovation et isolation des enveloppes d’un ensemble de bâtiments de la cité « Versailles » dont la construction s’est déroulée entre 1970 et 1984. L’ensemble est constitué de 10 bâtiments reprenant environ 285 logements

La rénovation a pour objectif de revaloriser l’image des bâtiments et répondre aux problèmes sociologiques qui existent sur le site par la rénovation des façades et des abords.

Les valeurs architecturales de l’ensemble sont issues du choix et du travail des matériaux (béton et briques), et du jeu volumétrique des différents complexes avec l’intégration de balcons et terrasses.

Sur l’ensemble de l’opération, nous avons défini deux grands types de façades là où actuellement il n’y en a qu’un seul afin de lutter contre une certaine monotonie. De manière générale, Les balcons existants sont incorporés dans la surface de l’appartement pour en créer de nouveaux. Cela permet un apport de lumière supplémentaire, l’appartement est élargi et l’espace extérieur est plus léger.

 

2020 – Lauréat concours

Histoire 1
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L’intervention structurelle envisagée consiste à greffer sur le gros œuvre des bâtiments différents balcons en acier.L’implantation des terrasses selon leur type est liée au fait que le logement regarde l’extérieur du site, ou le grand espace végétalisé central. L’une des typologies se développe en arborescence verticale sur poteaux avec une structure en « V », l’autre se développe avec des suspentes.

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Les aménagements intérieurs offriront un hall d’entrée plus accueillant et confortable, avec l’ajout d’un espace polyvalent plus généreux. Le réaménagement des halls doit permettre aux habitants de mieux les identifier depuis l’extérieur afin de s’orienter sur le site. Afin d’améliorer leur lisibilité, des larges baies vitrées sont prévues, vers lesquelles les visiteurs sont naturellement menés. Les haies des jardins ainsi que les garde-corps surplombant l’entrée soulignent d’autant plus les halls de chaque immeuble.

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Afin d’améliorer l’appropriation des espaces extérieurs, les zones intermédiaires entre les bâtiments et les espaces publics sont retravaillés. Cela permet d’offrir d’avantage d’intimité et de lisibilité entre « le grand jardin collectif » et les nouveaux jardins privatifs.